30237
Et voilà, Vidéo en Poche c’est fini, le compteur s’arrête à 30237 copies vendues sans DRM sur clés USB ! À bientôt dans le cyberespace indépendant et surtout IRL dans les salles de cinéma :)Le 30 novembre à minuit, Vidéo en Poche a tiré sa révérence et retourne dans sa bouteille de ...
Stop Bolloré ! L'appel du collectif
Le collectif Stop Bolloré a vu le jour en décembre 2021 et rassemble des membres et des organisations de la société civile qui s’inquiètent de la concentration des médias et de l’édition en France et des dangers que cela représente pour la démocratie. Le projet du collectif, qui est poli...
Quiz des "trente dernières secondes" du n°101 au n°117
Ici sont archivées les publications du quiz des “trente dernières secondes” du n°101 au n°117 Samedi 17 avril Hier, fin N° 101. Juliette Binoche, 30 ans plus tard, et magnifique, dans un autre de ses plus beaux rôles. La musique, c’est le célébrissime Canon en ré majeur de Johann Pa...
Quiz des "trente dernières secondes" du n°51 au n°100
Ici sont archivées les publications du quiz des “trente dernières secondes” du n°51 au N°100 //////////////////////////////////////// Vendredi 26 février Hier, fin N° 51. Saisissante. Tout comme l’est la séquence d’ouverture du film, qui montre la jungle s’enflammer sous les bombes a...
Également au programme - LE VAMPIRE NOIR - QUE LA BÊTE MEURE
(LOS TALLOS AMARGOS) Réalisé par Fernando AYALA - Argentine 1956 1h33mn VOSTF - avec Carlos Cores, Aída Luz, Julia Sandoval, Vassili Lambrinos... Scénario de Gerardo Rinaldi et Adolfo Jasca, d’après son roman.
Du 21/06/24 au 09/07/24
Alfredo Gasper, peu épanoui dans son métier de journaliste, fait la rencontre d’un homme d’origine hongroise, Liudas, qui se propose de monter avec lui une école de journalisme par correspondance. Une affaire qui se révèlera fructueuse en profitant de la naïveté des gens. Endetté, faisant fi de ses scrupules, Alfredo y voit une façon d’aider son associé à faire venir son fils et sa famille en Argentine.
« … Un film superbement raconté (la construction narrative, les rebondissements), à la mise en scène soignée et efficace, sans temps morts, avec une magnifique photo en noir et blanc et en prime la belle musique d’Astor Piazzolla, aux accents reconnaissables, le temps d’une promenade dans Buenos Aires ou de danses dans un cabaret. Exceptionnelle découverte que ce Un meurtre pour rien, grand film noir d’un cinéaste argentin peu connu voire oublié, Fernando Ayala. » Charles Tesson