La Paix, éternelle Utopie ?
Pas facile de décrypter le chaos du monde pour les spectateurs, plus ou moins lointains, que nous sommes, face aux faits tragiques qui nous submergent en avalanche via la presse, les réseaux sociaux, vraies ou fausses nouvelles… Et c’est dans ces moments-là que nous avons encore plus envie de croire...
LES SALLES UTOPIA SE METTENT AU VERT
Vous y croyez, vous, au bon sens qui voudrait que partir se bronzer les fesses à l’autre bout du monde avec des avions Macron volant avec du bio kérozène made in France serait bon pour votre corps et la planète ? Cela ne ressemblerait-il pas étrangement au discours tenu il y a quelqu...
Justine Triet parle d’or
Il aura donc suffi de quelques mots, à peine, pour que la Ministre de la Culture, celui de l’Industrie, quelques maires et députés de la majorité, volent dans les plumes et la palme de Justine Triet, réalisatrice couronnée d’Anatomie d’une chute, sermonnant en substance : « ce n’est pas bi...
Rosmerta continue ! Vous connaissez l’histoire ?
Depuis les débuts, et même avant, Utopia Avignon suit l’histoire de près ! Ça fait presque cinq ans qu’on vous en parle dans nos gazettes, à chaque rebondissement. Ce qu’il s’est passé depuis 2018 : réquisition citoyenne d’une école vétuste appartenant au diocèse, procès et appel...
Également au programme - LE VAMPIRE NOIR - QUE LA BÊTE MEURE
(LOS TALLOS AMARGOS) Réalisé par Fernando AYALA - Argentine 1956 1h33 VOSTF - avec Carlos Cores, Aída Luz, Julia Sandoval, Vassili Lambrinos... Scénario de Gerardo Rinaldi et Adolfo Jasca, d’après son roman.
Du 26/06/24 au 16/07/24
Alfredo Gasper, peu épanoui dans son métier de journaliste, fait la rencontre d’un homme d’origine hongroise, Liudas, qui se propose de monter avec lui une école de journalisme par correspondance. Une affaire qui se révèlera fructueuse en profitant de la naïveté des gens. Endetté, faisant fi de ses scrupules, Alfredo y voit une façon d’aider son associé à faire venir son fils et sa famille en Argentine.
« … Un film superbement raconté (la construction narrative, les rebondissements), à la mise en scène soignée et efficace, sans temps morts, avec une magnifique photo en noir et blanc et en prime la belle musique d’Astor Piazzolla, aux accents reconnaissables, le temps d’une promenade dans Buenos Aires ou de danses dans un cabaret. Exceptionnelle découverte que ce Un meurtre pour rien, grand film noir d’un cinéaste argentin peu connu voire oublié, Fernando Ayala. » Charles Tesson