UTOPIA SAINTE BERNADETTE
5 avenue du Docteur Pezet, 34090 Montpellier (Tram 1 Saint Eloi)


INFOS PRATIQUES et TARIFS

LA GAZETTE UTOPIA (à télécharger au format PDF)
Où trouver la gazette (carte des dépôts)

RSS Cinéma
RSS Scolaires
RSS Blog

(Quid des flux RSS ?)

EN DIRECT D'U-BLOG

Le blog des profondeurs...
(de champ)

Coopérative QUI VIVRA BÉRAT habitat partagé en évolution la Ménardière
Une autre façon de vivre ? Une autre façon de vieillir ? Voilà 4 ans, qu’un groupe de retraités a investi le Domaine de la Ménardière en créant une coopérative. Objectif : Vivre et vieillir ensemble solidaires et actifs jusqu’au bout du chemin. Chambres d’hôtes, Conc...

SÉANCES BÉBÉS
  Les séances "bébé" sont des séances où les parents peuvent venir avec leur nouveaux nés. Et déguster un film pendant qu'ils roupillent dans leurs bras. Les séances sont évidemment ouvertes à tous les spectateurs, il suffit de savoir qu'il peut arriver qu'un bébé fasse du bruit en suçant son pou...

30237
Et voilà, Vidéo en Poche c’est fini, le compteur s’arrête à 30237 copies vendues sans DRM sur clés USB ! À bientôt dans le cyberespace indépendant et surtout IRL dans les salles de cinéma Le 30 novembre à minuit, Vidéo en Poche a tiré sa révérence et retourne dans sa bouteille de la...

Soutenez Utopia Palmer

LUDWIG, LE CRÉPUSCULE DES DIEUX

Luchino VISCONTI - Italie 1972 3h58mn VOSTF - avec Helmut Berger, Romy Schneider, Trevor Howard, Silvana Mangano... Scénario de Visconti, Enrico Medioli et Suso Cecchi d’Amico.

Du 28/08/24 au 24/09/24

LUDWIG, LE CRÉPUSCULE DES DIEUXDevenu roi de Bavière à l’âge de 19 ans, Louis II (Helmut Berger), héros romantique, entame son règne avec enthousiasme. Mais ses proches le déçoivent. Il se sent trahi par Richard Wagner (Trevor Howard) dont il est le protecteur, le mécène et, espère-t-il, l’ami, et sa cousine Elisabeth d’Autriche (Romy Schneider) lui refuse son amour. Subissant de surcroît des échecs politiques et militaires, Ludwig, seul dans ses palais fastueux, sombre dans la folie…

Dans ce dernier volet de ce qu’il appelle sa « trilogie allemande » (avec Les Damnés, 1969, et Mort à Venise, 1971), Luchino Visconti reprend et approfondit le thème de la décadence : le déclin d’une aristocratie sous la coupe prussienne, la déchéance d’un homme fuyant la réalité à la recherche du rêve et de la beauté.
Remonté à plusieurs reprises, Ludwig connut une vie mouvementée, comme si l’extrême complexité de son héros empêchait qu’on le fige de façon définitive. Œuvre excessive par sa forme comme par sa durée, elle constitue une pièce maîtresse de la filmographie viscontienne. (Institut Lumière)